Stephen Keshi prend la réelle mesure du respect des Ecureuils
Après les ratés de Bamako contre les Black Stars, Stephen Keshi, le sélectionneur malien sait désormais à quoi s'en tenir pour la suite de la complétion (les Aigles pensaient survoler le groupe)
Le coach nigérian sait qu'il y a plus de petite équipe et qu'il se doit de respecter les autres. Ainsi, il estime que l'absence du Parisien Stéphane Sessègnon pour la rencontre Bénin-Mali du 6 septembre ne changerait rien à la façon dont ses poulains aborderont le match.
Il reconnaît devant témoins que le meneur de jeu du PSG « Sessègnon est un bon joueur. Mais il n'est pas le seul élément dangereux des Écureuils. Pour nous, l'absence de Sessègnon ne change rien », dit-il.
Les Maliens, 4 points, doivent absolument s'imposer au Bénin s'ils veulent garder une chance d'aller à la Coupe du monde.
Le Bénin a aussi besoin des 3 précieux points pour espérer une 3ème participation à une phase finale de la CAN tout comme le Soudan en situation difficile devant le Ghana qui conserve ses cages inviolées avec autant de matches joués que de victoires.
ABP/AS
Le coach nigérian sait qu'il y a plus de petite équipe et qu'il se doit de respecter les autres. Ainsi, il estime que l'absence du Parisien Stéphane Sessègnon pour la rencontre Bénin-Mali du 6 septembre ne changerait rien à la façon dont ses poulains aborderont le match.
Il reconnaît devant témoins que le meneur de jeu du PSG « Sessègnon est un bon joueur. Mais il n'est pas le seul élément dangereux des Écureuils. Pour nous, l'absence de Sessègnon ne change rien », dit-il.
Les Maliens, 4 points, doivent absolument s'imposer au Bénin s'ils veulent garder une chance d'aller à la Coupe du monde.
Le Bénin a aussi besoin des 3 précieux points pour espérer une 3ème participation à une phase finale de la CAN tout comme le Soudan en situation difficile devant le Ghana qui conserve ses cages inviolées avec autant de matches joués que de victoires.
ABP/AS