Programme présidentiel : Le progrès sur rails
Ph. A.?Yacef
D’aucuns pensent, à juste titre d’ailleurs, que le programme présidentiel 2010/2014 est porteur d’une grande ambition. Les objectifs poursuivis, les montants engagés ainsi que les perspectives nouvelles offertes confirment cette ambition. Ce programme se situe dans la lignée du PSRG et du programme quinquennal de soutien à la croissance économique et des programmes complémentaires en faveur des wilayas du Sud et des Hauts Plateaux. C’est dire qu’il y a une stratégie globale de développement du pays.En 2014, le visage de l’Algérie sera nettement différent de celui que nous connaissons aujourd’hui. Les infrastructures de base auront été achevées, d’autres barrages livrés ainsi que des unités de dessalement de l’eau de mer, un autre million de logements livrés, 6.000 km de nouvelles voies ferrées, d’autres centres universitaires verront leurs capacités s’élargir, d’autres axes routiers et l’autoroute de la rocade compléteront le réseau routier et autoroutier.Toutes ces infrastructures donneront, à l’Algérie, un aspect radicalement différent de celui d’aujourd’hui. De 2005 à 2014, l’Algérie aura investi environ 350 milliards de dollars, uniquement dans les infrastructures. C’est une véritable prouesse. En outre, ces infrastructures contribueront non seulement à la satisfaction des besoins de la population, mais augmenteront les atouts pour attirer les IDE. Ils ont vocation à renforcer les avantages comparatifs du pays, et ce n’est pas rien dans un monde où la concurrence est impitoyable.L’autre grand volet du programme présidentiel est l’émergence d’une économie productive hors hydrocarbures, diversifiée et densifiée. Dans son discours d’investiture, le Président de la République a souligné la nécessité de diversifier l’économie nationale pour rompre définitivement avec la dépendance à l’égard des hydrocarbures.Des mesures ont été prises et s’inscrivent dans cette nouvelle démarché. D’abord, la mise en place d’un fonds national d’investissement d’une montant de 150 milliards de dinars. Ce fonds a pour vocation le financement des activités relevant principalement du secteur de l’industrie. L’agriculture n’est pas en reste, puisqu’il est prévu de lui allouer une enveloppe de 1.000 milliards de dinars pour la moderniser, la mettre à niveau et augmenter son efficacité.Comme nous pouvons le constater, le programme 2010/2014 est porteur d’une espérance certaine. Il bouleversera entièrement le paysage de l’Algérie, tout en renforçant les bases de son développement durable.E.?M.
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D’aucuns pensent, à juste titre d’ailleurs, que le programme présidentiel 2010/2014 est porteur d’une grande ambition. Les objectifs poursuivis, les montants engagés ainsi que les perspectives nouvelles offertes confirment cette ambition. Ce programme se situe dans la lignée du PSRG et du programme quinquennal de soutien à la croissance économique et des programmes complémentaires en faveur des wilayas du Sud et des Hauts Plateaux. C’est dire qu’il y a une stratégie globale de développement du pays.En 2014, le visage de l’Algérie sera nettement différent de celui que nous connaissons aujourd’hui. Les infrastructures de base auront été achevées, d’autres barrages livrés ainsi que des unités de dessalement de l’eau de mer, un autre million de logements livrés, 6.000 km de nouvelles voies ferrées, d’autres centres universitaires verront leurs capacités s’élargir, d’autres axes routiers et l’autoroute de la rocade compléteront le réseau routier et autoroutier.Toutes ces infrastructures donneront, à l’Algérie, un aspect radicalement différent de celui d’aujourd’hui. De 2005 à 2014, l’Algérie aura investi environ 350 milliards de dollars, uniquement dans les infrastructures. C’est une véritable prouesse. En outre, ces infrastructures contribueront non seulement à la satisfaction des besoins de la population, mais augmenteront les atouts pour attirer les IDE. Ils ont vocation à renforcer les avantages comparatifs du pays, et ce n’est pas rien dans un monde où la concurrence est impitoyable.L’autre grand volet du programme présidentiel est l’émergence d’une économie productive hors hydrocarbures, diversifiée et densifiée. Dans son discours d’investiture, le Président de la République a souligné la nécessité de diversifier l’économie nationale pour rompre définitivement avec la dépendance à l’égard des hydrocarbures.Des mesures ont été prises et s’inscrivent dans cette nouvelle démarché. D’abord, la mise en place d’un fonds national d’investissement d’une montant de 150 milliards de dinars. Ce fonds a pour vocation le financement des activités relevant principalement du secteur de l’industrie. L’agriculture n’est pas en reste, puisqu’il est prévu de lui allouer une enveloppe de 1.000 milliards de dinars pour la moderniser, la mettre à niveau et augmenter son efficacité.Comme nous pouvons le constater, le programme 2010/2014 est porteur d’une espérance certaine. Il bouleversera entièrement le paysage de l’Algérie, tout en renforçant les bases de son développement durable.E.?M.
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