L'armée facteur d'insécurité organisée à Brazzaville
Après les obus de la nuit du 14 avril,les populations de Talangai quartier nord de Brazzaville semblent oublier ou ignorer la recrudescence des braquages répétés ces derniers temps dans le dit quartier.
Depuis plus de trois mois les habitants de ce quartier assistent à des films d’action dont les principaux acteurs sont des braqueurs opérant en toute impunité.
Ces hommes opèrent à main armée. Ils auraient pour principal repère la Rue Ndolo, voie qui leur permet d’évacuer a vive allure leur butin dans des 4x4 sans être inquiétés le moins du monde, tels les pirates du golfe d’Aden. Vêtus d’uniformes militaires, souvent cagoulés, ils sont armés jusqu’aux dents.
Ils opèrent le plus souvent entre 1h et 4h du matin, au vu de passants impuissants revenant des buvettes et des veillées de prières ou mortuaires.
Dans la nuit du 9 au 10 février 2009, une maison de bureautique (Digital service) située sur la rue Ndolo a été vidée de son contenu informatique alors qu’elle se trouve à proximité d’un poste de police.
Pendant que les obus tombaient sur le quartier de Ouenzé, les braqueurs ont vidé de son contenu la pharmacie Rosa, 95 rue Ndolo ainsi qu’un dépôt de boissons à l’arrêt manguier. La sentinelle de la pharmacie seulement équipé d’une machette pour assurer sa garde, n’a pu que se cacher pour sauver sa peau.
Témoignage d’une maman sortie à 4h pour préparer ses beignets
«Je les ai vu casser la pharmacie Rosa ainsi que là où les gens font la photocopie. A 50 m de là où je me tenais il y avait deux jeunes gens qui causaient. Alors je me suis rapprochée d’eux pour leur faire savoir qu’il y avait des voleurs qui cassaient la pharmacie. Ils me feront comprendre qu’il ne faut pas se mêler de ce qui te regarde pas. Du coup j’ai compris qui c’étaient ces gars. Repliée dans ma niche, je vois au travers ma fenêtre un véhicule 4x4 dans lequel il y’avaient plein de choses et duquel descendaient plus de cinq jeunes armés en uniforme militaire. Vraiment, il faut que les autorités viennent à notre secours. Depuis que ces actes ont commencé, j’ai ajouté trois serrures à ma porte » Tel est le cauchemar que vivent jour après jour les populations de la rue Ndolo.
Les autorités doivent agir pour d’arrêter ces bandits, au lieu de multiplier les tracasseries, les brimades et les interdictions de réunions ou de manifestations au nom de la « Paix » et de la « Sécurité ».
Le ministre ONDONGO bousille son mentor SASSOU NGUESSO
Dans un contexte morose, plein d’incertitudes et de suspicions, les Brazzavillois ont appris avec stupéfaction qu’un hold-up venait d’être perpétré avec succès à l’agence de la Caisse de Retraite des Fonctionnaires (CRF) de Ouenzé, sise au rond point Koulounda à Brazzaville, dans la nuit du vendredi 3 au samedi 4 avril 2009.
Cet hold-up a été l’oeuvre d’un groupe de braqueurs, des véritables professionnels du vol et du crime organisés.
Des dilapidateurs de fonds, déguisés en cambrioleurs armés et savamment organisés ont ainsi exécutés ce hold-up, nuitamment, avec une facilité déconcertante. C’est bien cette relative banalité de l’opération qui fait dire à certaines personnes, qu’ils auraient peut-être bénéficié de certaines facilités et complicités parmi les agents de la CRF et notamment ceux qui gèrent le transfert des fonds et les différents coffre-forts.
Dans tous les cas, l’acte accompli en toute sérénité et quiétude a permis aux malfrats d’ouvrir un coffre-fort ; pour s’emparer de la somme d’environ 131 millions 800 mille Frs CFA.
Sans faire des victimes, ces Braqueurs se sont évanouis dans la nature alors que le rond-point de Koulounda est d’habitude gardé par un groupe de policiers et autres vigiles qui y veillent.. Etonnant.
Un butin somme toute énorme, emporté allègrement par ces assaillants armés, qui visiblement étaient au parfum de ce dépôt prévu pour la paye le lendemain.
Alors que les coupables qui se sont paisiblement repartis avec leur butin courent toujours, nous avions appris qu’une enquête serait ouverte à la police), pour entendre certains Directeurs de la Caisse.
Selon certaines indiscrétions, ces éléments qui ont commis le forfait seraient envoyés par un officier supérieur.
La police qui a déjà mis la main sur un suspect, Sergent-chef qui a servi de chauffeur, nous osons croire, qu’elle publiera son enquête dans les plus brefs délais afin de rassurer la population sur ce qui vient de se réaliser en plein coeur de Ouenzé.
Pour les services de la Police et de la Gendarmerie, il est à craindre que ce groupe de braqueurs et de criminels organisés ne ente une deuxième opération de ce type dans une autre institution financière ou encore à la Morgue, à Maya-Maya ou encore au Mémorial De Brazza !
Après cet hold up, nous avons tenté de joindre, le Directeur Général de la CRF, malheureusement, ce dernier était encore en séjour privé à Oyo pour des questions familiales après les obsèques de notre Soeur la regrettée Edith Lucie BONGO ONDIMBA.
Pour l’heure, les enquêtes se poursuivent ici et là pour tenter de mettre la main sur ce réseau maffieux et crapuleux qui vient de s’offrir - sans peine- plus de 131 millions de FCF.
Toutefois, il serait incertain et complètement gratuit d’affirmer que le DG Colonel OTINA serait impliqué de près ou de loin dans ce sale coup réalisé par des braqueurs. Puisque, jusqu’à ce jour l’enquête se poursuit, nous aurons sans doute l’occasion de revenir sur ce dossier qui demande éclairage, vérité, interpellation afin de dégager les responsabilités des uns et des autres. Si les enquêtes sont bien menées, il est certain que ce hold-up ne manquera pas de soulever des vagues et provoquer du brouhaha à la CRF où certaines langues s’apprêteraient à dire haut et fort ce qui se cacherait
Déjà, à ce jour plus d’une personne demande l’interpellation du directeur d’études et de planification qui avait reçu soixante quinze (75) millions de FCFA pour la réfection de l’agence de Ouenzé. Ce qui est abérrant c’est de constater que malgré cette manne, les portes qui devraient être en métal, sont en contre-plaqué (isoplaque), le coffre n’est pas encastré, il traîne plus à l’air libre ; la grille ne marche même pas. Le chef de l'agence se serait même plaint car les normes de sécurité ne sont pas respectées.
Dans des pays sérieux,Gilbert ONDONGO, devrait être interpellé pour qu’il explique clairement son idée de création des agences ça et là, sa rentabilité.
La question que se pose le commun des mortels est celle de savoir, est-ce parce que le directeur général de la CRF aurait voulu diminuer 85% de la magouille des agents... La CRF comme d'ailleurs tout le pays est malade voir agonisante.
Créée et organisé en 1987 par décret n° 87/447 du 19 août 1987, la CRF démarre effectivement ses activités en 1988.
Au départ les choses allaient normalement. Mais le pire commence avec la fin du mandat de Note Etienne comme directeur général de cette institution ou les dépots se sont amenuisés et les paiements de pensions se sont avérés précaires malgré qu’ils soient transférés au Trésor public.
Les disputes entre MOYOKOLI et OKOMBI SALISSA via Brigitte MAKETTE enfoncèrent le clou. Conséquences, OKOMBI SALISSA traité à tort ou à raison de plusieurs maux fut remplacer par Gilbert ONDONGO qui fut bien accueilli comme Jésus Christ à l’entrée de Jérusalem. Malheureusement celui-ci n’apporta guère des solutions miracles et fera même pire selon certaines indiscrétions.
Au contraire, il met en difficulté son mentor, Denis SASSOU NGUESSO avec les effets d’annonce sans tenir compte de la réalité du budget de la CRF et des cadres qui partent à la retraite qui ne sont pas proportionnellement remplacé. Ainsi, dans son discours à la nation, le 31 décembre 2008, Denis SASSOU NGUESSO annonçait, l’automatisation de la retraite dès 2009. Dans la foulée, sans présenter le bilan de cet engagement, l’intervention du président de décembre fait état du paiement régulier des pensions.
Depuis plus de trois mois les habitants de ce quartier assistent à des films d’action dont les principaux acteurs sont des braqueurs opérant en toute impunité.
Ces hommes opèrent à main armée. Ils auraient pour principal repère la Rue Ndolo, voie qui leur permet d’évacuer a vive allure leur butin dans des 4x4 sans être inquiétés le moins du monde, tels les pirates du golfe d’Aden. Vêtus d’uniformes militaires, souvent cagoulés, ils sont armés jusqu’aux dents.
Ils opèrent le plus souvent entre 1h et 4h du matin, au vu de passants impuissants revenant des buvettes et des veillées de prières ou mortuaires.
Dans la nuit du 9 au 10 février 2009, une maison de bureautique (Digital service) située sur la rue Ndolo a été vidée de son contenu informatique alors qu’elle se trouve à proximité d’un poste de police.
Pendant que les obus tombaient sur le quartier de Ouenzé, les braqueurs ont vidé de son contenu la pharmacie Rosa, 95 rue Ndolo ainsi qu’un dépôt de boissons à l’arrêt manguier. La sentinelle de la pharmacie seulement équipé d’une machette pour assurer sa garde, n’a pu que se cacher pour sauver sa peau.
Témoignage d’une maman sortie à 4h pour préparer ses beignets
«Je les ai vu casser la pharmacie Rosa ainsi que là où les gens font la photocopie. A 50 m de là où je me tenais il y avait deux jeunes gens qui causaient. Alors je me suis rapprochée d’eux pour leur faire savoir qu’il y avait des voleurs qui cassaient la pharmacie. Ils me feront comprendre qu’il ne faut pas se mêler de ce qui te regarde pas. Du coup j’ai compris qui c’étaient ces gars. Repliée dans ma niche, je vois au travers ma fenêtre un véhicule 4x4 dans lequel il y’avaient plein de choses et duquel descendaient plus de cinq jeunes armés en uniforme militaire. Vraiment, il faut que les autorités viennent à notre secours. Depuis que ces actes ont commencé, j’ai ajouté trois serrures à ma porte » Tel est le cauchemar que vivent jour après jour les populations de la rue Ndolo.
Les autorités doivent agir pour d’arrêter ces bandits, au lieu de multiplier les tracasseries, les brimades et les interdictions de réunions ou de manifestations au nom de la « Paix » et de la « Sécurité ».
Le ministre ONDONGO bousille son mentor SASSOU NGUESSO
Dans un contexte morose, plein d’incertitudes et de suspicions, les Brazzavillois ont appris avec stupéfaction qu’un hold-up venait d’être perpétré avec succès à l’agence de la Caisse de Retraite des Fonctionnaires (CRF) de Ouenzé, sise au rond point Koulounda à Brazzaville, dans la nuit du vendredi 3 au samedi 4 avril 2009.
Cet hold-up a été l’oeuvre d’un groupe de braqueurs, des véritables professionnels du vol et du crime organisés.
Des dilapidateurs de fonds, déguisés en cambrioleurs armés et savamment organisés ont ainsi exécutés ce hold-up, nuitamment, avec une facilité déconcertante. C’est bien cette relative banalité de l’opération qui fait dire à certaines personnes, qu’ils auraient peut-être bénéficié de certaines facilités et complicités parmi les agents de la CRF et notamment ceux qui gèrent le transfert des fonds et les différents coffre-forts.
Dans tous les cas, l’acte accompli en toute sérénité et quiétude a permis aux malfrats d’ouvrir un coffre-fort ; pour s’emparer de la somme d’environ 131 millions 800 mille Frs CFA.
Sans faire des victimes, ces Braqueurs se sont évanouis dans la nature alors que le rond-point de Koulounda est d’habitude gardé par un groupe de policiers et autres vigiles qui y veillent.. Etonnant.
Un butin somme toute énorme, emporté allègrement par ces assaillants armés, qui visiblement étaient au parfum de ce dépôt prévu pour la paye le lendemain.
Alors que les coupables qui se sont paisiblement repartis avec leur butin courent toujours, nous avions appris qu’une enquête serait ouverte à la police), pour entendre certains Directeurs de la Caisse.
Selon certaines indiscrétions, ces éléments qui ont commis le forfait seraient envoyés par un officier supérieur.
La police qui a déjà mis la main sur un suspect, Sergent-chef qui a servi de chauffeur, nous osons croire, qu’elle publiera son enquête dans les plus brefs délais afin de rassurer la population sur ce qui vient de se réaliser en plein coeur de Ouenzé.
Pour les services de la Police et de la Gendarmerie, il est à craindre que ce groupe de braqueurs et de criminels organisés ne ente une deuxième opération de ce type dans une autre institution financière ou encore à la Morgue, à Maya-Maya ou encore au Mémorial De Brazza !
Après cet hold up, nous avons tenté de joindre, le Directeur Général de la CRF, malheureusement, ce dernier était encore en séjour privé à Oyo pour des questions familiales après les obsèques de notre Soeur la regrettée Edith Lucie BONGO ONDIMBA.
Pour l’heure, les enquêtes se poursuivent ici et là pour tenter de mettre la main sur ce réseau maffieux et crapuleux qui vient de s’offrir - sans peine- plus de 131 millions de FCF.
Toutefois, il serait incertain et complètement gratuit d’affirmer que le DG Colonel OTINA serait impliqué de près ou de loin dans ce sale coup réalisé par des braqueurs. Puisque, jusqu’à ce jour l’enquête se poursuit, nous aurons sans doute l’occasion de revenir sur ce dossier qui demande éclairage, vérité, interpellation afin de dégager les responsabilités des uns et des autres. Si les enquêtes sont bien menées, il est certain que ce hold-up ne manquera pas de soulever des vagues et provoquer du brouhaha à la CRF où certaines langues s’apprêteraient à dire haut et fort ce qui se cacherait
Déjà, à ce jour plus d’une personne demande l’interpellation du directeur d’études et de planification qui avait reçu soixante quinze (75) millions de FCFA pour la réfection de l’agence de Ouenzé. Ce qui est abérrant c’est de constater que malgré cette manne, les portes qui devraient être en métal, sont en contre-plaqué (isoplaque), le coffre n’est pas encastré, il traîne plus à l’air libre ; la grille ne marche même pas. Le chef de l'agence se serait même plaint car les normes de sécurité ne sont pas respectées.
Dans des pays sérieux,Gilbert ONDONGO, devrait être interpellé pour qu’il explique clairement son idée de création des agences ça et là, sa rentabilité.
La question que se pose le commun des mortels est celle de savoir, est-ce parce que le directeur général de la CRF aurait voulu diminuer 85% de la magouille des agents... La CRF comme d'ailleurs tout le pays est malade voir agonisante.
Créée et organisé en 1987 par décret n° 87/447 du 19 août 1987, la CRF démarre effectivement ses activités en 1988.
Au départ les choses allaient normalement. Mais le pire commence avec la fin du mandat de Note Etienne comme directeur général de cette institution ou les dépots se sont amenuisés et les paiements de pensions se sont avérés précaires malgré qu’ils soient transférés au Trésor public.
Les disputes entre MOYOKOLI et OKOMBI SALISSA via Brigitte MAKETTE enfoncèrent le clou. Conséquences, OKOMBI SALISSA traité à tort ou à raison de plusieurs maux fut remplacer par Gilbert ONDONGO qui fut bien accueilli comme Jésus Christ à l’entrée de Jérusalem. Malheureusement celui-ci n’apporta guère des solutions miracles et fera même pire selon certaines indiscrétions.
Au contraire, il met en difficulté son mentor, Denis SASSOU NGUESSO avec les effets d’annonce sans tenir compte de la réalité du budget de la CRF et des cadres qui partent à la retraite qui ne sont pas proportionnellement remplacé. Ainsi, dans son discours à la nation, le 31 décembre 2008, Denis SASSOU NGUESSO annonçait, l’automatisation de la retraite dès 2009. Dans la foulée, sans présenter le bilan de cet engagement, l’intervention du président de décembre fait état du paiement régulier des pensions.