L’enseignement professionnel et technique, gage du décollage économique d’un pays.
L’enseignement professionnel et technique, gage du décollage économique d’un pays.
Salah chakor.
Le train de la mondialisation dont rêvent la plupart des pays, surtout en voie de développement est une réalité qui risque d’écraser ceux-là, s’ils ne se mettent au niveau de ce phénomène mondial qui appelle à un recyclage des économies, et donc de la ressource humaine.
Par conséquent, l’enseignement professionnel et technique, négligé auparavant, n’est plus un choix mais une nécessité. Partout dans le monde, les effectifs du primaire sont en hausse et il faut prévoir d’urgence l’avenir de ces enfants. Or, dans de nombreux pays, le secondaire ne dispose pas d’assez de places, sans compter qu’il ne donne aucune garantie d’emploi à la sortie. Et encore moins de places dans les établissements de formation professionnelles et techniques, ce qui rend difficile, et la vie des citoyens et le développement d’une économie durable. Alors, entre les attentes nouvelles des jeunes et le manque de perspectives, les ingrédients d’une grande inquiétude sociale sont réunis. C’est ce qui retient particulièrement toutes les attentions des gouvernements.
L’initiative Royale vient au moment opportun pour annoncer l’initiative nationale, qui appelle tout un chacun à se pencher, sans tarder sur ce problème épineux, qui est le gage d’un développement et d’un décollage économique de tout pays. Car sans une ressource humaine formée, sans la tranquillisation, ou du moins la motivation par la création d’un espoir chez cette jeunesse, rien n’avancera.
Le développement de toute économie est tributaire donc d’une vie saine, décente et correcte des citoyens. Nous devons donc, tous proposer des solutions, définir des orientations qui débouchent sur de nouvelles stratégies pour les établissements de la formation technique et professionnelles. Les jeunes doivent avoir des compétences qui puissent s’adapter de façon flexible aux exigences du marché de l’emploi, marché mondialisé et en constante évolution.
Cette formation technique et professionnelle, considérée, il y a longtemps, comme une voie garage par rapport à la scolarité classique, est le moyen le moyen le plus adéquat pour réduire la pauvreté, donc de renforcer la cohésion sociale. C’est grâce à cela que l’initiative nationale qui est lancée récemment par Sa Majesté le Roi Mohamed VI prend le bon chemin pour trouver issue à ces inquiétudes.
Une main d’œuvre compétente est seule capable de procurer aux entreprises mondiales et locales des retours d’investissements considérables. En Chine, par exemple, les travailleurs qualifiés constituent l’épines dorsale de l’essor économique actuel, un tiers des élèves du secondaire est inscrit dans des écoles professionnelles, d’après un communiqué de, l’UNESCO, cette organisation qui s’efforce d’aider ces pays à sortir de ces impasses, en donnant un souffle aux enseignements techniques et professionnels.
Au Maroc, la formation professionnelle hôtelière et touristique est l’exemple à suivre, car les établissements de ces filières procurent des emplois, à la sortie à leurs lauréats, car ils sont des jeunes directement employables.
Salah chakor.
Le train de la mondialisation dont rêvent la plupart des pays, surtout en voie de développement est une réalité qui risque d’écraser ceux-là, s’ils ne se mettent au niveau de ce phénomène mondial qui appelle à un recyclage des économies, et donc de la ressource humaine.
Par conséquent, l’enseignement professionnel et technique, négligé auparavant, n’est plus un choix mais une nécessité. Partout dans le monde, les effectifs du primaire sont en hausse et il faut prévoir d’urgence l’avenir de ces enfants. Or, dans de nombreux pays, le secondaire ne dispose pas d’assez de places, sans compter qu’il ne donne aucune garantie d’emploi à la sortie. Et encore moins de places dans les établissements de formation professionnelles et techniques, ce qui rend difficile, et la vie des citoyens et le développement d’une économie durable. Alors, entre les attentes nouvelles des jeunes et le manque de perspectives, les ingrédients d’une grande inquiétude sociale sont réunis. C’est ce qui retient particulièrement toutes les attentions des gouvernements.
L’initiative Royale vient au moment opportun pour annoncer l’initiative nationale, qui appelle tout un chacun à se pencher, sans tarder sur ce problème épineux, qui est le gage d’un développement et d’un décollage économique de tout pays. Car sans une ressource humaine formée, sans la tranquillisation, ou du moins la motivation par la création d’un espoir chez cette jeunesse, rien n’avancera.
Le développement de toute économie est tributaire donc d’une vie saine, décente et correcte des citoyens. Nous devons donc, tous proposer des solutions, définir des orientations qui débouchent sur de nouvelles stratégies pour les établissements de la formation technique et professionnelles. Les jeunes doivent avoir des compétences qui puissent s’adapter de façon flexible aux exigences du marché de l’emploi, marché mondialisé et en constante évolution.
Cette formation technique et professionnelle, considérée, il y a longtemps, comme une voie garage par rapport à la scolarité classique, est le moyen le moyen le plus adéquat pour réduire la pauvreté, donc de renforcer la cohésion sociale. C’est grâce à cela que l’initiative nationale qui est lancée récemment par Sa Majesté le Roi Mohamed VI prend le bon chemin pour trouver issue à ces inquiétudes.
Une main d’œuvre compétente est seule capable de procurer aux entreprises mondiales et locales des retours d’investissements considérables. En Chine, par exemple, les travailleurs qualifiés constituent l’épines dorsale de l’essor économique actuel, un tiers des élèves du secondaire est inscrit dans des écoles professionnelles, d’après un communiqué de, l’UNESCO, cette organisation qui s’efforce d’aider ces pays à sortir de ces impasses, en donnant un souffle aux enseignements techniques et professionnels.
Au Maroc, la formation professionnelle hôtelière et touristique est l’exemple à suivre, car les établissements de ces filières procurent des emplois, à la sortie à leurs lauréats, car ils sont des jeunes directement employables.