S’achemine-t-on vers la fin de la querelle autour du passeport en RDC, avec les décisions respectives, du premier ministre et du ministre des Affaires étrangères, de simplifier la procédure d’octroi du passeport biométrique et la prorogation de la durée des anciens ? Une question où s’entremênt des considérations financières ayant fait opposé, en son temps, le ministère des Affaires étrangères à la banque centrale du Congo. Celle-ci s’arguant de sa capacité d’offrir, à moindre coût, des passeports susceptibles d’être imprimés à son Hôtel des monnaies. Ainsi, ces diatribes s’étaient-elles amplifiées par des accusations réciproques sur des passages des marchés de gré à gré avec des imprimeurs étrangers, notamment en France et en Arabie Saoudite.

Un véritable imbroglio à faire perdre son latin et dans lequel devraient s’exprimer deux prédécesseurs d’Alexis Thambwe Mwamba : Raymond Ramazani Baya ainsi qu’Antipas Mbusa Nyamwisi. Alors, avec l’actuel chef de la diplomatie congolaise, le problème serait-il réglé ?

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