La municipalité de Ouarzazate s’organise pour mieux repositionnes son économie.
La municipalité de Ouarzazate s’organise pour mieux repositionnes son économie.
Salah Chakor
Dans le cadre de sa politique d’ouverture sur l’environnement extérieur, conformément aux conditions de la charte nationale des collectivités locales, la municipalité de Ouarzazate ne cesse d’organiser des journées d’études et de rencontres scientifiques dans son enceinte.
Cette 2005, plusieurs rencontres ont eu lieu, en partenariat avec les Universités d’Ibno Zohr d’Agadir et avec El Cadi Ayad de Marrakech. La première rencontre tenu sous l’égide des chercheurs de l’université d’Agadir a porté sur la gestion participative de la chose citoyenne pour le développement d’une commune.
La deuxième rencontre importante, qui a eu lieu le samedi 4 juin avec le centre des études juridiques civiles et foncières à la faculté de droit de Marrakech, avait comme thèmes essentiels :
• Le foncier, l’investissement, le tourisme et l’industrie cinématographique dans la ville de Ouarzazate.
Au cours de cette journée plusieurs intervenants venus de Marrakech et des locaux ont traité, avec beaucoup d’acharnement des sujets en rapport avec le thème de base.
Après l’ouverture de la séance par le président du conseil municipal et du président du centre des études juridiques, il a été procédé aux premières interventions et notamment : celle des professeurs membres du centres et des responsables locaux du foncier et de l’habitat.
Cette rencontre pendant cette journée a été, pour nous d'une grande utilité et pleine d'enseignement, et nous en remercions vivement les organisateurs. Les éclaircissements qui ont été apportés aux problèmes posés ont réveillé les esprits et ont tiré la sonnette d'alarme, pour dire en définitif, que nous avons encore beaucoup à faire. Nous sommes, alors, tous appelés, à doubler d'efforts, pour que ces situations obscures voient, le plutôt possible, la lumière. Ces entraves constituent, certes des freins stoppant l'évolution de notre économie et en l'occurrence celle des investissements. C'est ce qui rend lent l'évolution socioéconomique de ce cher pays, Hélas!!
Le foncier se trouve, donc, comme étant au centre de tout cela, pour dire que c'est le point de départ de tout développement, en amant et en aval. Une fois ce problème réglé, le Maroc doublera ses investissements nationaux et internationaux. Enfin, bref, le problème relatif à la réglementation du foncier mérite une attention des particulières, pour le soulagement de l'économie, du social.......
Donc, il ne faut pas cacher que la révélation de tous ces problèmes ont trop bouleversé les participants et au risque de pousser profondément notre pessimisme. Alors, le centre d'étude juridique, est à coup sûr, capable de nous faire sortir de cette impasse. Nous souhaitons donc bon courage et bonne continuation à ce centre d’études.
Salah Chakor
Dans le cadre de sa politique d’ouverture sur l’environnement extérieur, conformément aux conditions de la charte nationale des collectivités locales, la municipalité de Ouarzazate ne cesse d’organiser des journées d’études et de rencontres scientifiques dans son enceinte.
Cette 2005, plusieurs rencontres ont eu lieu, en partenariat avec les Universités d’Ibno Zohr d’Agadir et avec El Cadi Ayad de Marrakech. La première rencontre tenu sous l’égide des chercheurs de l’université d’Agadir a porté sur la gestion participative de la chose citoyenne pour le développement d’une commune.
La deuxième rencontre importante, qui a eu lieu le samedi 4 juin avec le centre des études juridiques civiles et foncières à la faculté de droit de Marrakech, avait comme thèmes essentiels :
• Le foncier, l’investissement, le tourisme et l’industrie cinématographique dans la ville de Ouarzazate.
Au cours de cette journée plusieurs intervenants venus de Marrakech et des locaux ont traité, avec beaucoup d’acharnement des sujets en rapport avec le thème de base.
Après l’ouverture de la séance par le président du conseil municipal et du président du centre des études juridiques, il a été procédé aux premières interventions et notamment : celle des professeurs membres du centres et des responsables locaux du foncier et de l’habitat.
Cette rencontre pendant cette journée a été, pour nous d'une grande utilité et pleine d'enseignement, et nous en remercions vivement les organisateurs. Les éclaircissements qui ont été apportés aux problèmes posés ont réveillé les esprits et ont tiré la sonnette d'alarme, pour dire en définitif, que nous avons encore beaucoup à faire. Nous sommes, alors, tous appelés, à doubler d'efforts, pour que ces situations obscures voient, le plutôt possible, la lumière. Ces entraves constituent, certes des freins stoppant l'évolution de notre économie et en l'occurrence celle des investissements. C'est ce qui rend lent l'évolution socioéconomique de ce cher pays, Hélas!!
Le foncier se trouve, donc, comme étant au centre de tout cela, pour dire que c'est le point de départ de tout développement, en amant et en aval. Une fois ce problème réglé, le Maroc doublera ses investissements nationaux et internationaux. Enfin, bref, le problème relatif à la réglementation du foncier mérite une attention des particulières, pour le soulagement de l'économie, du social.......
Donc, il ne faut pas cacher que la révélation de tous ces problèmes ont trop bouleversé les participants et au risque de pousser profondément notre pessimisme. Alors, le centre d'étude juridique, est à coup sûr, capable de nous faire sortir de cette impasse. Nous souhaitons donc bon courage et bonne continuation à ce centre d’études.