Les femmes congolaises de Belgique lève le ton sur les élections en RDC
PROCESSUS ELECTORAL EN RD CONGO :
IRA-T-ON OU NON AU DELA DU 30 JUIN 2006 ?
REPONSE DE L’ABBE MALU MALU A BRUXELLES
De passage à Bruxelles, l’abbé Apollinaire MALU MALU, président de la CEI, Commission Electorale Indépendante, a rehaussé de sa présence le lancement de la Campagne « OPONI MAMA, OTONGI MBOKA » , initiative d’une plate-forme de femmes congolaises de Belgique. Cette campagne vise à collecter des fonds et des moyens pour soutenir les femmes congolaises candidates aux différentes élections qui auront lieu au Congo.
C’était ce dimanche 12 février 2006, vers 18h30, aux Halles Saint-Géry, Place Saint Géry, 25 dans la commune de 1000 Bruxelles.
Malgré la neige qui tombait sur Bruxelles depuis 14 heures, une bonne centaine de personnes ont répondu à l’invitation de la plate-forme "Soutien aux femmes congolaises en RDC ", composée de congolaises ou de belges d’origine congolaise, actives depuis des années dans le secteur associatif de Belgique : Marcelline LUKAYA, Juliette KIMPIABI,Gabrielle NGALULA, Albertine TSHIBILONDI, Joëlle MBELA, Charlotte MPIA, Véronique MANGWANDA, Stella MANDAILA, Mireille ZITU, Louise NGANDU, Sidonie BOPE, Jeanne ALASHA, Chantal TSHIBOLA, Isabelle KIDISHO, Sabine KAKUNGA Marie-Thérèse NDUMBA, Suzanne MOKASA, Hélène MADINDA.
La première à prendre la parole était madame Gisèle MANDAILA MALAMBA, Secrétaire d’Etat belge aux familles et aux personnes handicapées. Après avoir souligné le grand courage des femmes congolaises, elle a exprimé le vœu de voir d’avantage de femmes congolaises s’investir dans l’action politique. Actuellement, les femmes congolaises ont peut-être un handicap en politique, mais elles ont un grand atout : elles au moins ont une vision plus altruiste. Pour cela, elles méritent d’être soutenues.
Dans sa brève communication, l’Abbé MALU MALU a salué l’engagement de la diaspora dans le processus électoral.. il a promis le soutien de la CEI au projet des congolaises de Belgique. Il les mettrait en contact avec la plate-forme « femme et genre », mise en place au Congo par la CEI. Cette plate-forme a l’avantage d’être soutenue par certains organismes internationaux..
Pour terminer, le président de la CEI a informé l’assistance que la semaine qui commence est une semaine décisive. Elle connaîtra la promulgation, et de la constitution adoptée au référendum, et, selon certaines promesses l’adoption de la loi électorale.
Abordé par nos confrères de l’APPA concernant le respect du délai-butoir du 30 juin 2006, le président de la CEI a dit qu’il était tributaire d’autres institutions.
Pour établir un chronogramme, il devrait disposer de la loi électorale. Cela permettrait par exemple à la CEI de commander l’impression des bulletins de votes selon les prescrits de la loi. (voir l’interview à la fin).
Durant les échanges en aparté entre les organisateurs et le public, avant l’exhibition de l’orchestre Pas Mal plus, certaines questions pertinentes ont été soulevées : les critères pour sélectionner les candidates à soutenir, le risque de récupération, C’est ainsi que madame Rachel KABWA ATWELE de POTO MO INDO asbl a suggéré à certaines membres de la plate-forme, qu’il sied d’avoir une séance de travail avec d’autres organisations de femmes congolaises de Bruxelles pour maximiser les chances de réussite du projet.
Sauf imprévu, la délégation de la plate-forme « Soutien aux femmes congolaises en RDC » se rendra au Congo fin février, et plus particulièrement en provinces.
Cheik FITA
IRA-T-ON OU NON AU DELA DU 30 JUIN 2006 ?
REPONSE DE L’ABBE MALU MALU A BRUXELLES
De passage à Bruxelles, l’abbé Apollinaire MALU MALU, président de la CEI, Commission Electorale Indépendante, a rehaussé de sa présence le lancement de la Campagne « OPONI MAMA, OTONGI MBOKA » , initiative d’une plate-forme de femmes congolaises de Belgique. Cette campagne vise à collecter des fonds et des moyens pour soutenir les femmes congolaises candidates aux différentes élections qui auront lieu au Congo.
C’était ce dimanche 12 février 2006, vers 18h30, aux Halles Saint-Géry, Place Saint Géry, 25 dans la commune de 1000 Bruxelles.
Malgré la neige qui tombait sur Bruxelles depuis 14 heures, une bonne centaine de personnes ont répondu à l’invitation de la plate-forme "Soutien aux femmes congolaises en RDC ", composée de congolaises ou de belges d’origine congolaise, actives depuis des années dans le secteur associatif de Belgique : Marcelline LUKAYA, Juliette KIMPIABI,Gabrielle NGALULA, Albertine TSHIBILONDI, Joëlle MBELA, Charlotte MPIA, Véronique MANGWANDA, Stella MANDAILA, Mireille ZITU, Louise NGANDU, Sidonie BOPE, Jeanne ALASHA, Chantal TSHIBOLA, Isabelle KIDISHO, Sabine KAKUNGA Marie-Thérèse NDUMBA, Suzanne MOKASA, Hélène MADINDA.
La première à prendre la parole était madame Gisèle MANDAILA MALAMBA, Secrétaire d’Etat belge aux familles et aux personnes handicapées. Après avoir souligné le grand courage des femmes congolaises, elle a exprimé le vœu de voir d’avantage de femmes congolaises s’investir dans l’action politique. Actuellement, les femmes congolaises ont peut-être un handicap en politique, mais elles ont un grand atout : elles au moins ont une vision plus altruiste. Pour cela, elles méritent d’être soutenues.
Dans sa brève communication, l’Abbé MALU MALU a salué l’engagement de la diaspora dans le processus électoral.. il a promis le soutien de la CEI au projet des congolaises de Belgique. Il les mettrait en contact avec la plate-forme « femme et genre », mise en place au Congo par la CEI. Cette plate-forme a l’avantage d’être soutenue par certains organismes internationaux..
Pour terminer, le président de la CEI a informé l’assistance que la semaine qui commence est une semaine décisive. Elle connaîtra la promulgation, et de la constitution adoptée au référendum, et, selon certaines promesses l’adoption de la loi électorale.
Abordé par nos confrères de l’APPA concernant le respect du délai-butoir du 30 juin 2006, le président de la CEI a dit qu’il était tributaire d’autres institutions.
Pour établir un chronogramme, il devrait disposer de la loi électorale. Cela permettrait par exemple à la CEI de commander l’impression des bulletins de votes selon les prescrits de la loi. (voir l’interview à la fin).
Durant les échanges en aparté entre les organisateurs et le public, avant l’exhibition de l’orchestre Pas Mal plus, certaines questions pertinentes ont été soulevées : les critères pour sélectionner les candidates à soutenir, le risque de récupération, C’est ainsi que madame Rachel KABWA ATWELE de POTO MO INDO asbl a suggéré à certaines membres de la plate-forme, qu’il sied d’avoir une séance de travail avec d’autres organisations de femmes congolaises de Bruxelles pour maximiser les chances de réussite du projet.
Sauf imprévu, la délégation de la plate-forme « Soutien aux femmes congolaises en RDC » se rendra au Congo fin février, et plus particulièrement en provinces.
Cheik FITA